Tout d’abord il y a une Langue.
Ma langue.
Comme le dit Salman Masalha dans son poème « Laitani ».
« Si je pouvais être ma langue.
Savoir ce qui habite dans le cœur et exprimer tout ce qui est en moi.
Si je pouvais être une langue.
Sur une lèvre pliée par le tourment.
Qui ne dissimule ni ne dévoile rien.
Si elle me confiait sa parole.
J’exposerai à l’auditoire.
Les secrets de l’extase. »
Puis il y a un vieux dicton chinois:
« La peinture est le poème muet.
Le poème est la peinture invisible »
Akka.
Un poète, un vrai, avec le charme et l’humanité, œuvrant au respect de la femme et de l’Homme, dans des vies si imparfaites.
Merci à vous Madame.
De la Femme et de l’Homme.